Pied gauche
C’est avec la fatigue accumulée sur mes épaules que je souris au plus beaux des cauchemars me disant que la poussière de mes joies humaines réussira à ériger une statue de bonheur plus haute que tous les nuages gris qui habitent présentement le ciel de ma vie.
C’est de là-haut, éblouie par les rayons des rires d’enfants la bouche pleine de bonbons, que je trouverai la force de croire que le futur paisible et joyeux existe même dans les craintes du présent malheureux.
Je crois que je me suis levée du mauvais pied ce matin.
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